1. Mal évaluer le passif
Litiges, dettes cachées, clauses mal comprises…

2. Signer sans audit complet
L’audit juridique est votre seul filet de sécurité.

3. Oublier de rédiger un vrai pacte
Surtout en cas de co-acquéreurs ou investisseurs.

4. Négliger la clause de non-concurrence
Elle protège la valeur post-acquisition.

5. Mal gérer le contentieux d’après-cession
Un vendeur ou acheteur non satisfait peut bloquer la suite.

6. Penser que “l’avocat arrive à la fin”
Non : l’avocat doit être là dès la lettre d’intention.

Mohand OUIDJA

Mohand OUIDJA

Dirigeant de MO Avocat